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1.
European Respiratory Journal Conference: European Respiratory Society International Congress, ERS ; 60(Supplement 66), 2022.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-2261808

ABSTRACT

Lung ultrasound: an economic solution to estimate the severity of SARS-COV2 pneumonia Introduction: Healthcare spendings increased worldwide since the beginning of the SARS-COV2 pandemic. Compared to CT scan generally performed to evaluate the severity of SARS-COV 2 pneumonia, lung ultrasound costs less. Aim(s): The aim of this study is to determine whether lung ultrasound can replace CT scan in evaluating the severity of SARS-COV 2 pneumonia. Method(s): Fifty five patients with positive RT-PCR were included. CT scan and lung ultrasound were realized on admission day. We compared the CT Scan severity score to the lung ultrasound score. Result(s): The studied group had 35 male and 20 female. Twenty five percent of the patients were active smokers. The most common comorbidities were hypertension, diabetes and dyslipidemia. According to the lung ultrasound score, the patients had a mild to moderate, severe and critical pneumonia in 43,6%, 36,4 % and 9,1% of the cases respectivally. Lung ultrasound score cut-of was 14 and 24. There was a significant correlation between the extent of SARS-COV2 parenchymal lesions evaluated by CT scan and lung ultrasound score. (R=0,318, p = 0,018). Conclusion(s): Lung ultrasound is a reliable and economic alternative to CT scan in the initial assessment of SARSCOV 2 severity.

2.
European Respiratory Journal Conference: European Respiratory Society International Congress, ERS ; 60(Supplement 66), 2022.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-2261452

ABSTRACT

Bakground COVID-19 patients mostly experience a favorable evolution of the disease. However patients without acute respiratory distress syndrome (ARDS) but in need of long term oxygen therapy have received much less attention. Aim(s): To determine the predictive factors of home therapy oxygen after hospital discharge for COVID19 pneumonia. Method(s): We conducted a retrospective study including with laboratory-confirmed COVID-19 infection hospitalized in the pulmonology department of the military hospital of Tunisia. We divided our patients into two groups : the first group (16 patients, 7%) requiring long term oxygen therapy (G1), the second group discharged without oxygen (G2). Result(s): A total of 245 patients were enrolled in the study. The median age was 61 years old. The majority of the population were male (77%). Home therapy oxygen needs were not correlated with the scanner degree impairment upon admission as well as the duration and posology of corticotherapy during hospitalization. It was significatively associated with an increased hospital stay (r=0,314;p=<0,001). Predictive home oxygen therapy factors were patients with extensive fibrotic-like changes on lung CT scan upon admission (r=0.223;p=0.04), heightened procalcitonin (PCT) level (p=0.009). No correlation was found with, intensive care transfer or other biomarkers levels. Independent predictive factors of long term oxygen therapy prescription were increased hospital stay (ORa = 1.092 [1.026-1.164], p = 0.006) and pulmonary fibrosis on lung CT scan upon admission (ORa = 17.405 [2.353-128.721], p = 0.005). Conclusion(s): Increased hospital stay and extensive fibrotic-like on lung CT scan initial should be used to identify patients in need for adjunctive therapy.

3.
Medecine du Sommeil ; 20(1):35, 2023.
Article in French | EMBASE | ID: covidwho-2279326

ABSTRACT

Declaration de liens d'interets: Les auteurs declarent ne pas avoir de liens d'interets.Copyright © 2023

4.
Revue des Maladies Respiratoires Actualites ; 15(1):209, 2023.
Article in French | EMBASE | ID: covidwho-2182948

ABSTRACT

Declaration de liens d'interets: Les auteurs declarent ne pas avoir de liens d'interets. Copyright © 2022

5.
Revue des Maladies Respiratoires Actualites ; 15(1):117, 2023.
Article in French | EMBASE | ID: covidwho-2182924

ABSTRACT

Declaration de liens d'interets: Les auteurs declarent ne pas avoir de liens d'interets. Copyright © 2022

6.
Revue Francaise d'Allergologie ; 62(3):318-319, 2022.
Article in French | EMBASE | ID: covidwho-2004470

ABSTRACT

Déclaration de liens d’intérêts: Les auteurs n’ont pas précisé leurs éventuels liens d’intérêts.

9.
12.
European Respiratory Journal ; 58:2, 2021.
Article in English | Web of Science | ID: covidwho-1708939
14.
European Respiratory Journal ; 58:2, 2021.
Article in English | Web of Science | ID: covidwho-1706907
15.
16.
European Journal of Public Health ; 31:1, 2021.
Article in English | Web of Science | ID: covidwho-1610298
17.
European Journal of Public Health ; 31:2, 2021.
Article in English | Web of Science | ID: covidwho-1610297
18.
European Journal of Public Health ; 31:381-381, 2021.
Article in English | Web of Science | ID: covidwho-1609786
19.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):118, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586687

ABSTRACT

Introduction Le coronavirus 19 peut être à l’origine d’un spectre varié de manifestations cliniques. Le défi actuel est de déterminer des biomarqueurs fiables pour identifier les formes sévères. Méthodes C’est une étude prospective, longitudinale, incluant 143 patients infectés par le SARS2-COVID (confirmés par une PCR), admis au service de pneumologie de l’hôpital militaire, entre le mois de septembre 2020 et le mois de janvier 2021. Ils ont bénéficié d’un examen, d’un bilan sanguin, d’un scanner thoracique et d’un test PCR. Résultats Nous avons inclus 143 patients d’âge moyen de 62 ans, avec une nette prédominance masculine (69 %). Quant aux comorbidités, un diabète de type 2 était retrouvé dans (36 cas), une hypertension dans (56 cas), une insuffisance coronaire dans (5 cas), une dyslipidémie dans (28 cas) et une BPCO dans (8 cas). Une obésité morbide était retrouvée dans (38 cas). La fièvre était le motif principal de consultation (91 cas [64,1 %]). Par ailleurs, les frissons ont été rapportés dans 35 cas (24,5 %), un syndrome grippal dans 59 cas (41,3 %), une anosmie-agueusie dans 23 cas (16,1 %) et des troubles digestifs (une diarrhée dans 30 cas [21 %] et des vomissements dans 17 cas [12 %]). Donc, l’infection était donc classée comme : minime chez 33 patients (25,8 %), modérée chez 25 patients (19,5 %), sévère chez 60 patients (46,9 %) et critique chez 10 patients (7,8 %). Concernant les données biologiques, une hyperleucocytose était notée dans 36 cas (25 %). La CRP était élevée dans 108 cas (75,52 %). Les D-Dimères étaient élevées dans 117 cas (81,81 %). Le fibrinogène était élevé dans 12 cas (8,4 %). L’interleukine 6 étaient élevée dans 6 cas (4,2 %). Il est pertinent de noter qu’il existe une forte corrélation entre la sévérité clinique et le tabagisme (p=0,033), l’obésité (p=0,023), la présence d’une insuffisance cardiaque (p=0,02) ou d’une néoplasie préexistante (p=0,01) et l’intensité de l’inflammation (CRP [p=0,031], fibrinogène [p=0,011]). Concernant le traitement, une antibiothérapie était prescrite chez 135 cas (95,4 %). De plus, certains cas ont nécessité le recours à : la VNI (14 cas) ou à l’Optiflow (9 cas). Une intubation trachéale était pratiquée dans (3 cas). Par ailleurs, 23 cas ont présenté des complications nécessitant le transfert en réanimation. Nous rapportons désormais 13 cas de décès. Conclusion Notre étude soutient l’hypothèse d’une inflammation « auto-entretenue » chez les patients atteints du COVID-19 à l’origine d’un pronostic plus péjoratif.

20.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):122, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586679

ABSTRACT

Introduction Les pneumopathies infectieuses liées au COVID-19 présentent actuellement un motif fréquent d’hospitalisation aux services de pneumologie. Il s’agit d’une pathologie potentiellement grave notamment sur le plan respiratoire. Par ailleurs, plusieurs autres atteintes peuvent être associées pouvant altérer la qualité de vie des patients. Peu d’études se sont intéressées à décrire les symptômes du bas appareil urinaire au cours de l’infection à COVID-19. L’objectif de notre travail était de dépister les symptômes urinaires associés à l’infection COVID-19 et de déterminer leur prévalence en fonction de la sévérité du tableau clinique. Méthodes Nous avons mené une étude descriptive faisant inclure 51 patients hospitalisés au service de pneumologie de l’hôpital militaire de Tunis entre mars et août 2021. Le recueil des données clinicobiologiques et radiologiques a été rétrospectif. Le dépistage des signes urinaires a été réalisé en utilisant le Questionnaire de Symptômes Urinaires USP (Urinary Symptom Profile), à travers un entretien téléphonique. Les données ont été saisies et analysées à l’aide du logiciel SPSS version 25. Résultats Notre population comportait 22 femmes (41,5 %) et 29 hommes (54,7 %), avec un âge moyen de 54,86±16 ans. Aucun de nos patients n’avait un antécédent urinaire antérieur à l’infection COVID-19. Les signes du bas appareil urinaires retrouvés chez nos patients étaient : une incontinence urinaire (58 %), une hyperactivité vésicale (68,3 %) et une dysurie (14,6 %). L’étendue des lésions pulmonaires scanographiques étaient réparties comme suit : étendue légère (10–25 %) : 13,5 % ;étendue modérée (25–50 %) : 11,5 % et étendue sévère (>50 %) : 69,2 %. Sur le plan clinique l’hyperactivité vésicale, la dysurie et l’incontinence urinaire étaient significativement corrélées à une prévalence plus importante de formes sévères (p=0,003, p=0,03 et p=0,01 respectivement). L’hyperactivité vésicale a été significativement associée à une atteinte scanographique étendue (p=0,003), à une procalcitonine positive (p=0,001) et à une hyperfibrinogénémie (p=0,03). Aucune corrélation n’a été retrouvée entre l’hyperactivité vésicale et l’augmentation de la C reactive protein (CRP). Conclusion Notre étude a mis l’accent sur la prévalence des symptômes du bas appareil urinaire chez les sujets atteints de pneumopathie type COVID-19. D’autres travaux prospectifs sont nécessaires afin de déterminer le mécanisme physiopathologique et la valeur pronostique des atteintes urinaires.

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